Début des années 1950, les habitants de la Principauté fêtent le carnaval (« u Sciaratu » qui se traduit en monégasque par tapage, chahut) pendant trois jours dans les ruelles de Monaco-Ville où paradent des chars, suscitant joie et émerveillement pour les enfants. Sur l’un des chars, il est noté « commune libre des Moneghetti ». La séquence se termine par des personnes qui font sauter dans la foule, le traditionnel « u payassu », un mannequin de paille et de chiffon.